Qu’est-ce que le DSO ?

Dédié au domaine de la finance et du recouvrement, le DSO est l’acronyme du terme anglais Days Sales Ousdtanding.  Pouvant se traduire en français par DMP (délai moyen de paiement) ou encore NJC (nombre de jours de crédit), ce terme détermine de délais entre la date d’émission d’une facture  et la date de encaissement. La maîtrise du DSO est donc un facteur clé pour une entreprise afin de s’assurer d’une bonne trésorerie.

Calcul du DSO

Il existe plusieurs méthodes pour calculer le DSO d’une entreprise. Nous pouvons citer la méthode comptable (ou standard) mais il y a aussi la méthode count back ou encore la méthode BPDSO (Best Possible DSO).

Calcul par méthode comptable

L’objectif de cette méthode est de comparer l’ensemble des créances et le chiffre d’affaire.

(Encours client / chiffre d’affiche de la période*) X nombre de jour de la période*

*La période choisie est souvent définie par trimestre mais il est également possible d’étendre celle-ci.

Calcul par méthode count back

Ce mode de calcul consiste à retirer de l’encours financer jusqu’à épuisement le chiffre d’affaire. Une manipulation à réaliser chaque mois puis d’additionner le nombre de jours correspondants.

Le principal avantage de cette méthode est de mieux absorber les effets de saisonnalité.

Calcul par méthode BPDSO

Le but de cette méthode est de déterminer un temps optimal de recouvrement des créances.

(Encours client non exigibles / chiffre d’affiche de la période*) X nombre de jour de la période*

Optimiser son DSO

Quel que soit la méthode de calcul, l’optimisation du DSO est capital pour une entreprise. Afin d’y parvenir, voici quelques solutions et bonnes pratiques :

• – Réduire les délais de paiement : imposer à vos créanciers des délais courts
• – Diminuer les délais de traitement des litiges avec vos clients
• – Optimiser votre système de recouvrement des créances en utilisant des outils comme Clearnox par exemple.
• – Améliorer la collaboration entre les différentes entités de l’entreprise
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